Au musée Rodin de Meudon
Depuis quelques années, Françoise Jolivet utilise comme support d’écriture et de passementeries des potirons qu’elle scarifie puis déshydrate, lyophilise ou tanne pour conserver la trace de son travail. Le retour à l’enfance à travers le légume des potagers de grands-mères s’accompagne d’un travail où la ruse avec les processus naturels permet de lutter contre la mort et la disparition inéluctables.